Le Forum Economique Mondial (World Economic Forum : WEF), aussi connu comme Forum de Davos, représente le gros des milliardaires et de leurs conseils : il est donc inutile de souligner son caractère éminemment philanthropique. Un de ses appendices est la Bill & Melinda Gates Foundation : Bill Gates a bâti sa fortune (longtemps la première du monde) en brevetant à son profit des logiciels naguère libres de tout droit, et sa Foundation est de même une arnaque remarquable dont le rôle principal a été de lui éviter de payer des impôts — bref en tout cela on nage dans l'amour bien compris du genre humain.
Sous les auspices donc dudit WEF, ladite Foundation s'est associée à un groupe d'intérêts de Big Pharma (les plus gros trusts chimico-pharmaceutiques), le Johns Hopkins Center for Health Security, pour consacrer une session à une expérience d'épidémie ou guerre bactériologique.
Objet : Coronavirus.
Date : 18 octobre 2019.
Soit deux mois avant le déclenchement de l'épidémie très actuelle en France...
De par la crétinisation de masse en laquelle convergent media et ministères dits d'enseignements, il suffit de la simple menace d'être qualifié de complotiste ou conspirationniste pour rendre une large majorité lâche et imbécile au point d'accepter de se tenir aveugle et coite face aux faits. Mais comme ici on se moque des étiquettes collées par les mafieux et crapules au pouvoir, et qu'on croit aux faits confirmés partout, on ne pouvait manquer de rédiger d'abord cette introduction.
Celle-ci posée, il est inutile de faire la liste des colporteurs de rumeurs, paniques, informations et contradictions destinées à égarer les gens — les mêmes colporteurs ricanent ensuite qu'il ne faut pas céder à la psychose créée et entretenue par leurs soins ! —. On vérifie là simplement que le maintien des foules dans la peur et l'ignorance est condition du pouvoir.
On ne signalera aussi qu'en passant les spéculations sur les produits de santé : ce ne sont qu'expression plus vive du brigandage légalisé et choyé sous le nom de commerce, et ceux qui se souviennent des fortunes françaises bâties sous la Gestapo pendant l'Occupation, et au Marché Noir encore à la Libération, ont en ce moment d'intéressantes occasions de raviver leurs colères et leurs haines.
Il est peut-être plus original de ressortir le compte rendu de juin 2017 de la très considérable Banque des Règlements Internationaux (à l'échelle mondiale ce qu'est la Fed aux USA). Ce rapport est d'abord remarquable de netteté sur les "cycles financiers", cycles de ramassage puis de vols de l'épargne par krachs comme celui de 2008 et l'actuel, tous deux à l'échelle de la planète : principes de "crises" où des pauvres et moins pauvres sont réduits à la misère parfois noire, et où d'un coup les riches multiplient leurs fortunes dans des proportions hallucinantes — voyez le sourire ravi de Mme Lagarde lors de son récent discours à la BCE —. Mais le même rapport formule plus clairement encore un autre aveu : il se plaint répétitivement du "fardeau du vieillissement démographique", c'est-à-dire de l'énorme manque à gagner que représente pour les diverses institutions financières le fait d'avoir à verser des retraites alors que l'espérance de vie a considérablement augmenté — faut-il dire après cela : hélas pour les financiers, dont un type est le criminel contre l'humanité Henry Kissinger, de quelque quatre-vingt-quinze ans... ?
Ne remarquez donc surtout pas, SVP, que le Coronavirus en cause est surtout mortel chez les personnes âgées : ce serait encore plus complotiste, et alors peut-être — au point où nous en sommes — cela pourrait devenir motif de placement en garde à vue, rappel à la loi, voire procès puis, que sais-je ? raison d'être abattu sur place comme terroriste par les forces de "l'ordre", puisqu'on a aboli la peine de mort !
On n'arrête pas l'progrès...
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